Carte interactive sur la qualité de l'eau potable en France
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En raison d'un problème d'approvisionnement en boîte de curage, le réseau de la rue de revennes ne pourra vraisemblablement pas être posé avant Noël. L'entreprise réalisera alors les travaux de la rue du Jeu d'Arc et de la rue d'Enfer en remplacement à partir du 3 décembre en fonction des intempéries.
Les travaux seront interrompus pendant les vacances scolaires du 24/12/11 au 04/01/13.
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2 tranches de travaux
Juin 2011
Juillet 2011
Septembre 2011
Octobre 2011 Lancement des consultations
Automne Hiver 2011 consultation des entreprises
Décembre 2011 Remise des offres
Janvier 2012 Choix des entreprises et demande de subventions
Mai juin 2012 début des travaux
Mai juin 2013 Fin des travaux et début de raccordements des particuliers de la commune de Baugy.
Octobre 2011
Les communes de Monchy Humieres et Baugy réunies au sein du SIVOM lancent leur reseau d'assainissement collectif et la rénovation de la station d'epuration de Monchy Humieres.
Dés 2013, la nouvelle station rénovée dite à boues activees collectera les eaux sales des habitants de Baugy et Monchy humieres. Braisnes sera raccordée a la station de Coudun, bien que faisant partie du SIVOM.
Une station d’épuration est installée généralement à l’extrémité d’un réseau de collecte d'assainissement, juste en amont de la sortie des eaux vers le milieu naturel.
Elle rassemble une succession de dispositifs, empruntés tour à tour par les eaux usées. Chaque dispositif est conçu pour extraire au fur et à mesure les différents
polluants contenus dans les eaux:
Les procédés biologiques à cultures libres : les “boues activées”
Dans ces procédés, les bactéries se développent dans des bassins alimentés d’une part en eaux usées à traiter et d’autre part en oxygène par des apports d’air. Les bactéries, en suspension dans
l’eau des bassins, sont donc en contact permanent avec les matières polluantes dont elles se nourrissent et avec l’oxygène nécessaire à leur assimilation.
Les principes de fonctionnement diffèrent suivant que l’objectif est de traiter le carbone ou le carbone et l’azote et/ou le phosphore : en pratique, il s’agit de permettre la sélection des
espèces de bactéries capables soit de transformer le carbone en CO2, soit de transformer l’azote en nitrates puis les nitrates en azote gaz (N2), soit de stocker le
phosphore.
Dans tous les cas, la séparation de l’eau traitée et de la masse des bactéries (que l’on appelle « boues ») se fait dans un ouvrage spécifique appelé "clarificateur".
Pour conserver un stock constant et suffisant de bactéries dans le bassin de boues activées, une grande partie des boues extraites du clarificateur est renvoyée dans le bassin.
Une petite partie de ces boues, correspondant à l’augmentation du stock pendant une période donnée, est évacuée du circuit des bassins d’aération et dirigée vers les unités de traitement des
boues : cette fraction des boues constitue les « boues en excès ». La plupart des stations d’épuration municipales françaises fonctionnent selon ce principe.